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Some cool Lunette Smith images:
not to be ignored
Image by unautreroman Existence et aventures de Mary Smith. Rien n'est écrit d'avance… Chacun possède deux lieux de naissance. Mary Smith, née à Milan, estime être née à l’île de Sein. C'est en visitant le sommet du Mont Dore que Mary Smith a rencontré Lilliann Fournier: le ciel et la mer se font la cour, plaisirs: en musique Mary Smith hésite entre Monsieur de Sainte-Colombe et Jean-Yves Bosseur, Mary Smith ne supporte pas l'affirmation: "il n'y a pas d'unité dans une vie humaine"; survit à ses affections comme elle survit aux saisons, avec sa grâce inconsciente Mary Smith rayonne. Voluptés: cherche depuis longtemps un tableau dont le titre serait "not to be ignored"; l'amitié de Pamela Harriman lui procure un grand confort, est une originale, elle ne mange que du chocolat ou des brugnons; Mary Smith porte des lunettes, un nez fin - cheveux en bataille, Mary Smith est svelte - une peau d'ivoire, un front plein de superbe. Un sourire confiant… cherche quelqu'un. La personne que Mary Smith admire le plus est Monsieur de Sain te-Colombe, Mary Smith ne supporte pas d'être seule un seul jour, phobies: Mary Smith n'aime pas porter du drap; ce qui se passe n'a jamais autant d'importance que ce que Mary Smith invente - croit dans la force de la poésie; jouissances : Mary Smith collectionne toutes les représentations qu'elle trouve du sommet du Mont Dore.
une grande sensualité
Image by unautreroman Existence et aventures de Clyde Smith. L'existence de Clyde Smith mérite d'être rapportée. Clyde Smith parvint à Mende (en Lozère) en 1950, son grand père maternel était Mustapha Azuela, vierge à l'ascendant, le bas du visage brouillon, une chevelure aile de corbeau et sans vie, une peau satinée et rosée - regard limpide derrière des lunettes d'acier… une bouche d'une grande sensualité. Clyde Smith est très ami avec Sergio Fernandez - considère que l'art n'a de sens que s'il engage la vie de l'artiste, Clyde Smith a l'ambition d'écrire un texte supérieur à “Les aventures de Théo Cottard” de Mariana Azuelo… en musique, Clyde Smith se fie à ses oreilles. Clyde Smith voudrait pouvoir s'offrir “La nuit étoilée” de Van Gogh, n'oublie pas le mur des lamentations; a la passion des expressions anglaises comme "recent letter" ou "purple flood", vit en extase devant Jean-Baptiste Lully - Clyde Smith a de l'appréhension devant les goélands, à force de se sentir seul, Clyde Smith se découvre haïssable, a un plaisir à vivr e; est vivant; a d'énormes talents de comédien, en regardant passer les heures Clyde Smith se répète: "c'est une folie de croire qu'on est maître de se rendre heureux par la volonté".
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